Le Japon s'associe aux États-Unis et à l'Europe pour contrôler les géants de l'informatique

Kazuyuki Furuya, président de la Commission japonaise du commerce équitable, a déclaré que Tokyo pourrait lancer

enquête sur chaque fusion ou processus de fusion, qui peut par exemple avoir lieu avec la société de trackers de fitness Fitbit. Ceci est à condition que la taille de ces transactions soit importante.

Si l'ampleur d'une fusion ou d'un regroupementl'entreprise est importante, nous pourrions lancer une enquête antitrust sur l'acquisition par l'acheteur d'une startup telle que Fitbit. Nous suivons de près l’évolution de la situation, y compris en Europe. 

Kazuyuki Furuya, président de la Commission japonaise du commerce équitable

Le pays commence ainsi à s'adapter"opérateurs de plateforme". Nous parlons par exemple de Google, Apple, Facebook et Amazon. Pour ces sociétés, un terme distinct est utilisé, GAFA, qui est une abréviation des noms de sociétés. Parfois Microsoft y est ajouté, l'abréviation prend alors la forme GAFAM.

Rappelons que les travaux des GAFA ont activement retenu l'attention des autorités antimonopoles ces dernières années.

Selon Furuya, GAFA et d'autres sociétés multinationales ont des pratiques commerciales similaires dans le monde entier, ce qui rend la coordination réglementaire mondiale essentielle.

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