De nouveaux petits robots délivrent des médicaments directement au système nerveux central

L'étude a montré que les robots étaient contrôlés grâce à un champ magnétique : c'est ainsi qu'ils pouvaient se déplacer contre

flux de fluide, gravir des pentes et voyager le long des tissus nerveux tels que la moelle épinière, et distribuer des médicaments à des endroits spécifiques.

Les maladies du système nerveux central sont difficilestraiter. L'administration de médicaments par voie orale ou intraveineuse, comme pour le traitement du cancer ou de maladies neurologiques, peut affecter des zones du corps et du système nerveux qui ne sont pas associées à la maladie. Si nous apprenons à administrer des médicaments de manière ciblée à des points spécifiques du corps, cela entraînera une efficacité accrue et des effets secondaires réduits en réduisant le dosage.

Dans le nouveau travail, les auteurs ont utilisé de minusculesdes robots capables d'établir une administration ciblée de médicaments dans le corps humain. Les chercheurs ont développé différents types de micro— ou des millirobots. Cependant, le principal problème est de contrôler leur activité lorsqu'ils se déplacent dans les tissus corporels.

Les auteurs soulignent que les champs magnétiques sontмногообещающий способ управления роботами внутри организма. Под влиянием магнитных полей они могут безопасно перемещаться по организму и, в конченом итоге, достичь цели. 

Во время эксперимента исследователи проверили, comment les robots pourront gravir une pente de plus en plus raide ou se déplacer contre un fluide en écoulement. Ils ont également testé la façon dont les robots se déplaçaient dans les tissus, en utilisant un cerveau de rat et une moelle épinière de souris. En conséquence, les robots ont réussi les tests.

Lire la suite:

Le ralentissement de la rotation de la Terre a provoqué la libération d'oxygène sur la planète

Recherche : le Gulf Stream pourrait provoquer un effondrement irréversible de la planète

Voir plus d'art rupestre néandertalien vieux de 60 000 ans