Les scientifiques ont enregistré pour la première fois dans l'histoire de l'humanité un blitzar - une rafale radio lors de la transformation d'une étoile à neutrons massive en trou noir

Les chercheurs pensent avoir réussi à enregistrer un blitzar pour la première fois. Pour ce faire, ils ont utilisé des données

Les observatoires LIGO et VIRGO, qui observent les ondes gravitationnelles, ainsi que les informations de l'Expérience canadienne de cartographie de l'intensité de l'hydrogène (CHIME).

Que sait-on

Un blitzar est un événement oùétoile à neutrons supermassive se transforme en trou noir. Habituellement, il est empêché de s'effondrer par les forces centrifuges. Ils sont créés en raison de l'énorme vitesse de rotation de l'étoile. La force centrifuge empêche la matière de tomber au-delà de l'horizon des événements.

Dans ce cas, l'étoile à neutrons, en raison de l'énormela vitesse de rotation devient un pulsar. Cependant, après des millions d'années, la rotation ralentit sous l'influence d'un champ magnétique. Cela conduit au fait que les forces centrifuges ne peuvent pas empêcher la transformation d'une étoile neurale en trou noir. A ce moment, le champ magnétique est séparé de la source. L'énergie forme une rafale d'émission radio d'un large spectre d'énergie. C'est le Blitz.


</ img>

Les astronomes ont étudié les données de LIGO, VIRGO et CHIME.Ils ont appris que sur plus de 20 fusions d'étoiles à neutrons détectées dans les ondes gravitationnelles, une seule coïncidait avec une rafale rapide d'émission radio.

Selon les scientifiques, la probabilité quele sursaut radio survenu dans la région de la confluence des étoiles, est d'environ 70 %. Dans ce cas, la probabilité d'une coïncidence aléatoire est de 0,004. La masse des étoiles à neutrons avant la fusion dépassait la masse du Soleil de 1,35 et 2 fois. Après la fusion, un objet de 3,2 masses de notre étoile est apparu.

Ainsi, les scientifiques pourraient enregistrer un blitz pour la première fois dans l’histoire de l’humanité. Cependant, on ne peut pas en être totalement sûr en raison du peu d’histoire d’observation.